Cette année, c'est "Paris plages" sans sable... Je crois qu'il faudrait rebaptiser l'événement. Car selon Wikipédia, la géomorphologie définit une plage comme une « accumulation sur le bord de mer, sur la rive d'un cours d'eau, d'un lac ou plan d'eau quelconque, de géomatériaux d'une taille variable allant des sables fins aux blocs ». Les lattes de bois et tranches de bitume ne me semblent pas correspondre à la définition, aussi élargie soit-elle, d'une plage. En tout cas, cette année on aura plus de temps pour en profiter, de cette plage non sablonneuse : ouverte le 8 juillet, la plage ne ferme que le 3 septembre. Mais c'est la plage de galets qui nous attend...
Par ciel gris, mois de juillet tristounet, ça fait moyennement illusion.
Pas beaucoup de gazon (promis)...
Le directeur de l'école a une mémoire d'éléphant, il se souvient du chichou, de ci, de ça, mais fuit ses responsabilités et ne semble pas se souvenir de la façon dont il lui a pourri la vie. En fait c'est la directrice que je venais voir (elle gère l'élémentaire, lui le secondaire). Elle n'est pas là, il l'appelle, elle répond. Je dis par politesse "J'ai dû me tromper de jour". Elle assure que notre rendez-vous était pour le lendemain. Dommage que je n'aie pas un téléphone permettant la consultation de mes mails, car, vérification faite à la maison, c'est bien elle qui s'est trompée ! Aïe aïe aïe, l'assurance des puissants...
Non seulement il n'y a pas de sable, mais il y aussi peu de transats et de palmiers. D'ici à ce qu'on n'ait ni palmiers, ni même chaises longues (pour rester "en marche"...) l'année prochaine il n'y a pas loin...
L'affluence est moindre, et pourtant il ne pleut même pas. Peut-être sont-ils tous du côté de la Villette...
Entre deux virées à la plage je dois encore régler des petites choses avant que les enfants ne partent en vacances.
Ah dommage pour le sable, quoique en ramener à la maison n'est pas toujours agréable.
RépondreSupprimerC'est sûr, mais ça fait partie du jeu...
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