Il y a deux catégories de "femmes qui travaillent" (= pour un salaire). Celles qui ont des femmes de ménage et celles qui n'en ont pas. Pour des raisons matérielles (question de moyens) ou/et pour des raisons plus obscures (la non-envie d'un tiers dans son intimité et pour ma part la non-capacité à commander). Les secondes considèrent avec une relative envie les premières, qui se plaignent souvent d'avoir du mal à trouver la perle rare et à la garder. Les premières n'ont pas l'air de se demander, en tout cas ne le demandent pas, par délicatesse ?, comment se débrouillent les secondes...
Un(e) collègue qui part à la retraite sans faire de pot, ça veut dire beaucoup... Déjà quand j'ai commencé à travailler, ceux qui formulaient cette dernière volonté me semblaient avoir atteint le comble de l'aigreur et avoir pour le moins raté leur vie professionnelle, sinon leur vie tout court. Maintenant je comprends mieux le pourquoi du comment on peut en arriver là, et ferai peut-être un jour de même (même si j'avais assuré le contraire), mais ça ne m'empêche pas d'en penser toujours et à fortiori peu ou prou la même chose. La dernière en date qui souhaite un départ sans tambour ni trompette a œuvré dans l'ombre, pendant des années, tel un gaz toxique... Mais elle doit ressentir une sombre frustration diffuse à partir en catimini ainsi car depuis quelques jours, et pendant quelques-uns encore - que l'on compte, attendant avec impatience la levée de la chape de plomb et la disparition de la menace -, elle est très irritable, cherchant l'embrouille et le clash. Pour tout dire, il y a eu un peu de crêpage de chignon aujourd'hui au bureau !... On compte les jours, vous dis-je.
Je ne sais pas pourquoi j'ai comme une envie de retraite
dans l'île Saint-Honorat (île de Lérins) en ce moment...
Un(e) collègue qui part à la retraite sans faire de pot, ça veut dire beaucoup... Déjà quand j'ai commencé à travailler, ceux qui formulaient cette dernière volonté me semblaient avoir atteint le comble de l'aigreur et avoir pour le moins raté leur vie professionnelle, sinon leur vie tout court. Maintenant je comprends mieux le pourquoi du comment on peut en arriver là, et ferai peut-être un jour de même (même si j'avais assuré le contraire), mais ça ne m'empêche pas d'en penser toujours et à fortiori peu ou prou la même chose. La dernière en date qui souhaite un départ sans tambour ni trompette a œuvré dans l'ombre, pendant des années, tel un gaz toxique... Mais elle doit ressentir une sombre frustration diffuse à partir en catimini ainsi car depuis quelques jours, et pendant quelques-uns encore - que l'on compte, attendant avec impatience la levée de la chape de plomb et la disparition de la menace -, elle est très irritable, cherchant l'embrouille et le clash. Pour tout dire, il y a eu un peu de crêpage de chignon aujourd'hui au bureau !... On compte les jours, vous dis-je.
Ben dis donc ya de l'ambiance chez toi.
RépondreSupprimerquelle tristesse quand même... continuer de pourrir l'ambiance et ses collègues alors même qu'il ne lui reste que quelques jours de travail... :(
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