Une belle et riche exposition sur Hergé vient d'ouvrir au Grand Palais. Je l'ai arpentée rapidement (tandis que le chichou écoutait une conférence sur le Grand Siècle), me promettant d'y revenir, avec lui, quand il y aura moins de monde...
Ma nourriture spirituelle de base, substantifique moelle de mes voyages imaginaires enfant et adolescente, c'est la bande dessinée, belge en particulier (mais pas seulement), celle d'une époque.
Pourquoi pas un prix Nobel de la littérature décerné à un auteur de bande dessinée pendant qu'on y est ? Puisqu'on l'a bien donné à un chanteur... (À choisir je l'aurais donnée à Paul Simon d'ailleurs.)
Avant d'arriver à la ligne claire, il faut crayonner beaucoup, beaucoup, beaucoup. Au point de trouer la feuille avec le crayon parfois, dit Hergé.
George Remi (1907-1983), petit, tel une fille, et enfant avec son frère.
La peinture américaine des années 1930, avec notamment ce tableau très connu (qui se trouve habituellement à la National Gallery of Art de Washington), American Gothic, de Grant Wood (dont on découvre deux autres tableaux étonnants à l'intérieur de l'expo). Et deux beaux tableaux de Hopper : New York Movie (1939) et Gas (1940) (tous deux au MOMA, à New York).
Bien tentant tout ça!
RépondreSupprimermon zouzou de même pas 3 ans est déjà fan de Tintin, qu'il déguste avec son papa, le soir avant de se coucher. Pas toujours sûre que ce soit une bonne idée, car il a ainsi appris à quoi pouvait servir un sabre, des armes à feu et autres joyeusetés mais bon, le dessin est joli et il aime surtout Milou, donc… ;)
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