Non, nous n'avons malheureusement pas adopté de chats, Mari étant inflexiblement anti-animal de compagnie.
Nous sommes donc allés prendre notre dose homéopathique de câlins félins au café des chats de la rue Sedaine, dans le quartier de Bastille.
Des chats en haut, des chats en bas, des chats partout...
À propos de bêtes, Théodore Monod disait : J'invite tous mes amis qui sont aussi ceux des animaux à rayer définitivement de leur vocabulaire l'adjectif "bestial" : un crime affreux sera qualifié par la presse, peut-être même en gros caractères, de "crime bestial", or il s'agit en réalité d'un crime spécifiquement humain et totalement étranger au monde animal. De quel droit continue-t-on en effet à calomnier sans raison un monde animal qui, même dépourvu de cette conscience morale censée représenter notre glorieux apanage, aurait parfois de précieux enseignements à nous donner ?
Les chats y sont-ils vraiment bien?
RépondreSupprimerIls ont l'air. Pas plus mal que dans un appartement privé en tout cas.
SupprimerGénial! C'est marrant cette idée. Nous avons adopté deux chatons l'an dernier, le seul inconvénient c'est quand tu dois t'absenter ou quand il y en a un avec une infection d'urine et que tu dois débourser 300 €!!! (très dur!). Mais sinon, ils font beaucoup de compagnie.
RépondreSupprimerDeux chatons, notre rêve...
SupprimerTu pointes deux des principaux points d'achoppement : la garde en cas d'absence et le coût.
Dans la série "contraintes liées à la présence d'un chat dans son appartement", il faut aussi compter avec la première année où le chat, animal nocturne, "ne fait pas ses nuits"… Le mien m'a réveillé chaque nuit à 4 heures du matin pendant un an et demi, pour que je lui ouvre le balcon, même quand celui-ci était déjà ouvert...
RépondreSupprimerAh oui, leur vie la nuit, 3e point non négligeable.
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