Compliqué d'accéder aux derniers étages du musée des arts décoratifs de Paris. L'accès, par ascenseurs ou escaliers, est bien mal indiqué. Logique qu'il y ait plus de gardiens - qui doivent sérieusement s'ennuyer - que de visiteurs.
Des années 40 (au 9e étage), vue plongeante sur les années 60 (au 7e).
Les années 50.
Acquisition récente (2014) d'un berceau danois
(de 1963), en pin d'oregon. de Nanna Ditzel (1923-2005).
J'aurais voulu le même pour mes chichoux.
Une petite photo pour la choute.
Par la fenêtre (niveau 7, si mes comptes sont bons),
vue sur la rue de Rivoli embouteillée à 13 heures,
le jardin des Tuileries avec quelques joggers.
Même vue, plus à gauche,
le jardin, la Tour Eiffel au fond.
Effet de style : les toits de la rue de Rivoli derrière le rideau.
À l'étage des années 2000 (niveau 5), étonnant et amusant, le miroir Ghost (2007) d'Olivier Sidet. Miroir, aluminium et film optique Lumisty à vision angulaire qui empêche d'y voir son reflet. Comme s'il y avait de la buée...
Le joli, peu pratique et encombrant mais joli, porte-manteau After Thonet, de Mathieu Lehanneur (designer) et Bernard Mauffret (ébéniste), réalisé en 2009 (conçu en 2003).
Enfin, le monumental secrétaire Rhinocéros (il s'ouvre),
de François-Xavier Lalanne (1927-2008), en laiton.
de François-Xavier Lalanne (1927-2008), en laiton.
Contrairement au musée lui-même, le site internet du musée (où au moins, encore une fois, on n'est pas dérangé par le monde) est plutôt bien fait, riche de textes didactiques et de superbes photos.
Excellent choix du berceau au rhino tout est beau.
RépondreSupprimermab