À 9 heures du soir, je me retrouve écartelée entre la riante choute qui me demande de lui épeler les mots de l'histoire inventée qu'elle écrit (avant de se coucher), l'énervé chichou qui veut que je l'aide à remplir un fumeux dossier de compétences pour l'école et la pile, sur la table du salon, de linge repassé à ranger. Tout en pensant que je ne pourrai pas rappeler ma mère qui m'a laissé un message en ce sens.
Et Mari sur le canapé devant la télé... À ne pas voir quoi faire pour m'aider (arguant qu'il a déjà aidé la choute pour le début de son histoire) lorsque je finis par le solliciter. Et les hommes (père et fils) me reprochant mon attitude pour le moins irritée...
Je vous le dis, l'esclavage de la femme (ai-je entendu "mal organisée" ?...), où que ce soit, n'est pas fini.
Louis-Léopold Boilly (1761-1845),
L'homme grimaçant,
crayon noir, craie blanche et estompe,
New York, collection particulière.
Mais il fallait bien quelqu'un pour occuper la télé :-D
RépondreSupprimerMais envoie les promener, 2 jours tout seuls il comprendront leur douleur!
RépondreSupprimermab