Pendant ma pause déjeuner hebdomadaire je suis allée photographier un tableau pour un professeur, car je n'en avais que de mauvaises reproductions (aux couleurs infidèles). Il se trouve dans l'église polonaise de Paris, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, dans le 1er arrondissement, à l'angle de la rue Cambon et de la très chic rue Saint-Honoré, où j'ai croisé Giorgio Armani dans la foulée.
La fresque de la Coupole, que je retournerai photographier à l'occasion, est de Charles de La Fosse. Le tableau qui m'intéressait était le suivant :
La naissance de la Vierge, de Joseph-Benoît Suvée, datant de 1779
C'est difficile à photographier un tableau, même si l'ouverture et la tranquillité des lieux de culte catholique ainsi que l'inespérée luminosité de celui-ci étaient propices. Alors j'ai multiplié les vues, de plus ou moins rapprochées à élargies.
Sinon j'en ai profité pour m'arrêter, sans rien acheter - Je ne sais pas comment j'ai fait tellement le choix et la tentation sont grands. -, à la librairie Galignani, 224, rue de Rivoli.
D'Armani à Valentino, c'est l'Italie à Paris.
Sinon (2e), s'il n'y avait pas foule à l'église, il y avait en revanche la queue pour entrer au magasin Colette (213, rue Saint-Honoré)... Le magasin des bobos par excellence. Cher et sans intérêt aucun. En regardant sur Internet à mon retour je vois qu'ils étaient tous attirés, tentés même, par l'Apple Watch. Je ne sais même pas ce que c'est. Une montre en forme de pomme ?
On vit quand même dans des mondes parallèles, stratifiés de manière tant générationnelle que sociale ou culturelle... Qui communiquent entre eux avec plus ou moins de bonheur d'ailleurs.
Bien d'accord avec toi pour colette, ça ne mérite pas la majuscule.
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