Demain on ira en vacances, en Normandie, sous la pluie. On est habitués, mais quand même on s'en passerait. Pas forcément de la Normandie, mais de pluie, si.
C'est donc le dernier jour d'école. Et le matin, c'est particulièrement dur d'y aller, dernier jour ou pas, quand la chouchoute s'est gentiment installée sur vos genoux.
C'est tes cheveux, tes vrais cheveux ? A dit, admirative, la cantinière à la choute, hier.
Récemment on a fait un S, pour le cours d'arts plastiques, le S de SAVEURS (chaque élève faisant la lettre d'un mot d'une phrase - que je ne connais pas). Les profs d'arts plastiques sont les mêmes qu'à mon époque, de plus en plus lointaine ; leurs cours et les sujets qu'ils donnent sont toujours aussi nuls (je trouve). Mais c'était agréable, néanmoins, de faire ce grand S. Aussi grand (nulle indication de dimensions par la prof) qu'inutile.
Chinées dans un vide-hôtel du 12e, ces deux illustrations de menus du Transatlantique, par le talentueux Jean-Adrien Mercier (1899-1995) (sa fille, Sylvie Mercier, pianiste, est toujours vivante). Elles reprennent des fables de La Fontaine : Le singe et le dauphin, et La laitière (Perrette) et le pot au lait.
Pour la laitière, j'aime beaucoup aussi le tableau de Fragonard, que j'ai pu voir maintes fois au musée Cognacq-Jay (rue Elzévir, Paris, 4e). Plus "coquin" évidemment... C'est Fragonard...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire