Une exposition.
Locale, mais pas banale, sculpturale (et picturale).
J'aime bien le titre de cette sculpture : "Ce(ux) qui nous entrave, ce(ux) qui nous libère".
(Mais il aurait fallu rajouter (nt) aux verbes...)
Celle-ci, élancée, d'un mouvement gracieux et harmonieux,
représentant trois extra-terr..., euh non, trois "figures",
a eu le prix de la ville.
représentant trois extra-terr..., euh non, trois "figures",
a eu le prix de la ville.
La déclaration, ça s'appelle...
Puis un spectacle, dans un très joli théâtre.
Qui réjouit et émeut. L'histoire, les dialogues, les trois acteurs (Fanny Guillot jouant la fille adolescente) et la mise en scène, tout est bien. Fort sympathique, comme on dit en ce moment. L'actrice principale nous a gratifié d'un fou rire. Ce n'était que la 6e représentation.
Le centre de Paris (1er et 2e arrondissements) est beau (historique, typique) et agréablement animé le soir. La nuit venant, certaines rues et l'ensemble du métro offrent une impression (liée à une fréquentation différente de celle du théâtre ou des restaurants attenants, ceux du passage des Panoramas notamment) plus inquiétante, voire stressante, que stimulante... De là à s'enthousiasmer de retrouver sa non riante petite ville de banlieue morte il y a un pas que je ne franchirai pas.
J'adorais aller chez FU, étudiante,quand elle habitait le 2ième et ensuite le 1er
RépondreSupprimertiens, moi aussi, j'en suis arrivée à un point de ras le bol absolu de ma "non riante petite ville de banlieue morte"… partir partir partir...
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