À Paris, on peut :
Entendre les conversations des consommatrices à la terrasse d'un débit de boissons bien situé. Une copine disant à l'autre : - "Il faut que je te rende la merveilleuse petite robe noire que tu m'as prêtée." L'autre lui répondant : - "Tu ne veux pas la garder pour tes vacances à Ibiza ?"...
Manger japonais à côté de Valérie Bonneton qui appelle sa fille "Ma chichoute"... Et deux rues plus loin prendre un café en face d'Yves Simon plongé dans la consommation de ses desserts lactés et concomitamment la lecture, concentrée, de son journal. Un homme d'habitude, visiblement, qui embrasse la serveuse en partant. Les habitudes et les "potes" font bon ménage. Croiser ces personnes connues, ce qui peut arriver quotidiennement dans certains quartiers centraux et prisés de Paris, peut être, je l'admets, relativement plus "exciting" que de croiser de parfaits inconnus ailleurs.
Se promener dans les rayons luxueux d'un grand magasin, dans celui financièrement plus accessible (mais bien caché) des jouets (tous de bon goût). Faire son choix parmi les nombreux beaux livres d'une librairie, avec ou sans l'aide d'une des vendeuses aimables et expertes, qui proposent, sans insistance aucune, leurs services.
Se dire qu'on est mieux là, à prendre du bon temps, comme un souffle de liberté, avec ou sans trop d'argent, qu'au bureau, à perdre son temps à gagner ce peu d'argent... En même temps, mieux vaut avoir un travail salarié qu'être au chômage. Il paraît qu'il y en a qui gagnent des millions au loto et qui veulent continuer à aller au travail. L'expression "de la confiture aux cochons" me paraît dans ce cas parfaitement appropriée...
Entendre les conversations des consommatrices à la terrasse d'un débit de boissons bien situé. Une copine disant à l'autre : - "Il faut que je te rende la merveilleuse petite robe noire que tu m'as prêtée." L'autre lui répondant : - "Tu ne veux pas la garder pour tes vacances à Ibiza ?"...
Manger japonais à côté de Valérie Bonneton qui appelle sa fille "Ma chichoute"... Et deux rues plus loin prendre un café en face d'Yves Simon plongé dans la consommation de ses desserts lactés et concomitamment la lecture, concentrée, de son journal. Un homme d'habitude, visiblement, qui embrasse la serveuse en partant. Les habitudes et les "potes" font bon ménage. Croiser ces personnes connues, ce qui peut arriver quotidiennement dans certains quartiers centraux et prisés de Paris, peut être, je l'admets, relativement plus "exciting" que de croiser de parfaits inconnus ailleurs.
Se promener dans les rayons luxueux d'un grand magasin, dans celui financièrement plus accessible (mais bien caché) des jouets (tous de bon goût). Faire son choix parmi les nombreux beaux livres d'une librairie, avec ou sans l'aide d'une des vendeuses aimables et expertes, qui proposent, sans insistance aucune, leurs services.
Se dire qu'on est mieux là, à prendre du bon temps, comme un souffle de liberté, avec ou sans trop d'argent, qu'au bureau, à perdre son temps à gagner ce peu d'argent... En même temps, mieux vaut avoir un travail salarié qu'être au chômage. Il paraît qu'il y en a qui gagnent des millions au loto et qui veulent continuer à aller au travail. L'expression "de la confiture aux cochons" me paraît dans ce cas parfaitement appropriée...
Toi tu reconnais ces célébrités moi je penserais "tien il ressemble à tel ou tel acteur.
RépondreSupprimerici aussi retour au bureau et pffffffffff quelle perte de temps :( Heureusement, les souvenirs de vacances restent et les week-ends sont ensoleillés et actifs !
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