Warholisation

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mercredi 20 mai 2015

Cours-y vite !


 J'ai beau ralentir l'allure autant que possible, j'arrive déjà à l'épisode 18... Sachant qu'il n'y en a que 24, je désespère déjà. 6 mois seulement, sans doute (les hypothèses sont multiples) parce que Roger Moore était pressé d'incarner James Bond. Quel dommage, quel gâchis. The Persuaders aurait gagné à durer un an ou deux quand même, pas seulement 6 mois.
 Tony Curtis y est d'une agilité exceptionnelle, à l'égal d'un gymnaste. (Ce à quoi je n'avais pas fait attention quand j'étais petite.) J'ai du coup regardé de plus près sa filmographie et me suis offert La Chaîne (The Defiant Ones), 1958 (vu et apprécié il y a longtemps à la télé, pas encore revu), de Stanley Kramer, avec Sidney Poitier. Ont tous deux été nommés aux Oscars pour le prix d'interprétation, mais ne l'ont malheureusement pas obtenu.
 J'ai beau faire, je n'ai pas encore vu tous les films (On en a quand même peu ou prou 1750 en DVD.) que je voudrais voir (et que je n'ai pas !). Mais il me reste de l'espoir. Pour les livres, aucun.

 On a beau freiner des quatre fers on arrive à la fin de l'année scolaire. L'année de CP a filé. Il faut déjà renoncer à la super maîtresse pour en accepter une qui semble en tout point moins super. Qui aurait dû prendre sa retraite, mais a rempilé pour un an. Espérons qu'elle nous réserve quelque bonne surprise pour la fin. À la fin de la 3e, pour le chichou l'année prochaine, y aura-t-il encore l'inutile brevet ?
 Le bonheur est dans le pré, cours-y vite, cours-y vite, le bonheur est dans le pré, cours-y vite il va filer. J'adorais ce poème de Paul Fort, et me navrais que le bonheur ait quand même, malgré ma course effrénée, filé à la fin.

1 commentaire:

  1. Tony Curtis trapéziste dans "Sous le plus grand chapiteau du monde" était déjà bien agile.

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