Warholisation

Warholisation

vendredi 31 juillet 2015

Vélo 1

  Nous sommes revenus trois jours à Paris, pour un rendez-vous foireux chez une dentiste qui aurait dû être une orthodontiste, et, en prime, de nouveau traumatique pour la dent enfoncée (qu'elle a cru bon de nettoyer avec son appareil électrique) qui a l'air vraiment et définitivement HS depuis...
 Pendant que le chichou continuait à récupérer de son éprouvante année scolaire en se levant aussi tard qu'il se couche..., la choute et moi avons eu des matinées aussi bienheureusement estivales que sportives. Soyons clairs, dans cette famille les filles sont plus actives que les garçons.


 Après la fête foraine et avant le retour des cirques (et des voitures), le bois est à nous. c'est le meilleur moment de l'année (beaucoup de gens étant en vacances) pour en profiter. Le matin on y croise essentiellement des joggeurs, randonneurs et esclaves de chiens.



 L'après-midi, je les ai emmenés chez un coiffeur "rock'n roll". Le chichou qui ne voulait pas y entrer est ressorti ravi de sa nouvelle coupe courte "trop stylée". La choute moins gênée par ses cheveux dans les yeux.

Dans une rue parisienne, surprise !, on a croisé Mari...

dimanche 26 juillet 2015

D'une côte à l'autre

 Après quelques jours de paradis cannois nous avons traversé la France pour aller nous rafraîchir en Normandie. On ne le dit pas à la télé (où la désinformation est reine), mais quand la canicule sévit partout en France, l'irréductible côte d'Albâtre culmine à 12° C... On s'est gelés (et mouillés), en alternance avec quelques belles journées, celles que j'ai prises en photos.

  Lors du passage des voiliers du Tour de France à la voile, des stands de jeux gratuits, avec des animateurs extrêmement gentils et disponibles, étaient ouverts aux enfants.

 La petite choute téméraire a entraîné son grand frère, qui, seul, n'aurait pas osé, dans l'ascension du mât de 12 mètres, avec descente en rappel.
 
 L'année prochaine, plutôt que de la danse, elle voudrait faire du foot...
On s'est attardés sur les chaises longues de Lire à la plage.
(Ce n'est pas souvent qu'elles servent...)
Je suis toujours admiratrice de belles façades anciennes.
La choute a mis la main à la pâte et bien malaxé, et étalé au rouleau.
 Puis disposé les abricots préalablement coupés (que j'ai recouvert d'une crème aux amandes). Elle a presque tout fait en somme. Et moi j'ai presque tout mangé, mes enfants n'aimant, je vous le rappelle, ni les fruits ni les tartes.

 On a joué à l'intérieur.

Et à l'extérieur.
 Un vieux monsieur qui n'avait rien d'autre à faire qu'à rabattre la joie de ses congénères est venu nous dire qu'il était interdit de jouer dans ce square. Je lui ai fait remarquer que l'interdit n'étant pas signifié par un panneau nous allions poursuivre nos jeux silencieux (badminton et frisbee) qui ne gênaient personne (à part les pisse-vinaigre).

Contre-plongée sur l'abbatiale nous surplombant.

Figuier en devenir (et à son pied ?).

 Lors du rapide passage du Tour de France en vélo (au fond, le peloton), un policier municipal, au physique de Rapetou et au caractère de cochon, est venu se placer devant nous, totalement sourd aux protestations du public.

Sans pitié pour les petits spectateurs.

 Les jours de pluie, ou pas d'ailleurs, on est allés voir Vice-Versa et Les minions, très bien. Et toujours acheter (ou emprunter) des livres et des films, pour les lire et les regarder...

 Et acheter des fleurs aussi, pour que la choute - grande amatrice de fleurs depuis toute petite - puisse jardiner et faire pousser.

 Pour conclure, aucune envie de reprendre le travail qui empiète affreusement sur mon temps libre et de loisirs...

dimanche 19 juillet 2015

Adieux

Au pays des halls (et appartements) marbrés et joliment éclairés.
 
Des allées fleuries illuminées par des réverbères et parfois la lune pleine.

Au pays où l'on peut s'enfouir dans le sable.

Ou s'égarer dans la création éphémère.
 
Où tout est possible.

 Pour partir (J'ai du mal à dire "rentrer".), on ne va pas prendre cet hôtel flottant démesuré, mais le train, au rythme aléatoire à cause des grosses chaleurs. La SNCF ne supporte pas les climats extrêmes ; les rails, véhicules et trafic ferroviaire n'apprécient que le tempéré.

Dégonflage de croco (qui, malgré une fuite, ne s'est jamais dégonflé totalement).

Dernières glaces.

 
 Sous les palmiers évidemment.

samedi 18 juillet 2015

Festivals

 Le palais n'abrite plus le festival international du cinéma.
 Mais un festival de l'art chinois et autres manifestations culturelles.

Le Majestic n'abrite plus de stars (quoique je ne sois pas allée y voir de près).
 Mais d'autres personnes richissimes, et temporairement quelques sculptures en son jardin.

 Et le festival pyrotechnique va éblouir ses nombreux spectateurs entre le 14 juillet et le 14 août.
 Au-dessus des pins parasol.
 

jeudi 16 juillet 2015

Activités de plage

 Cette année on a emmené un animal de compagnie de poids.

 Il faut bien s'occuper les mains... Et comme toucher le sable, c'est le sculpter... (Déjà, de par son corps, quand l'on s'y allonge.) On se lance quotidiennement dans des sculptures éphémères. Les filles font des châteaux (seau et tasse de café, ce jour). Chaque jour de nouveaux châteaux et de nouveaux moules pour les façonner.

 Le garçon a une préférence pour les circuits et autres rampes de lancement, sur lesquels il fait dévaler une boule de sable... Regrettant finalement de ne pas avoir emporté de billes.
(Difficile d'éviter les pieds sur ces photos !)

Mauvaise nouvelle : notre ami le crocodile se dégonfle.

mercredi 15 juillet 2015

Commerces divers



Beaucoup de choix, des prix élevés, beaucoup de monde.

De bonnes glaces au yaourt, mais la choute préfère les esquimaux.

Les soldes attirent du monde rue d'Antibes.



Dans ce magasin, la choute a trouvé son bonheur.
 Qui n'emballe pas Mari. Mais je dis : Si à 7 ans on ne peut pas porter une robe " coucher de soleil sur la mer ", à quel âge le peut-on ? Jamais peut-être... En tout cas, elle, ce sera à 8 ans (taille de la dite robe).

Sinon il y a aussi ce merveilleux cheval à bascule qui lui plaît bien.
 Qui n'affiche pas de prix (ce qui signifie en général que l'objet du désir est " hors de prix ") et se trouve dans un magasin de jouets qui porte ce joli nom : " En sortant de l'école ".

mardi 14 juillet 2015

Plage de Méditerranée

 Je ne connais rien de plus fort, beau et régénérant que de se baigner dans la mer Méditerranée, celle de la baie de Cannes, mais côté boulevard Gazagnaire précisément. De l'autre côté, c'est nettement moins bien.
 J'ai connu bien d'autres mers, bien d'autres plages, mais pas toutes (Ne suis pas allée en Corse...), loin de là (Ni à Copacabana, etc.), évidemment, toutefois aucune n'était à la hauteur de cet endroit-là. Une petite plage près de Perpignan m'avait fait bon effet, sans que j'ai eu trop le temps d'en profiter. 
 Celle-ci réunit tous les critères paradisiaques qui sont les miens : transparence (On y voit les petits poissons filer entre nos pieds.) et platitude de l'eau (en particulier le matin), sable de texture et de couleur idéales, plage de taille modeste, la mer est à portée de pieds. On a justement pied juste comme il faut, pas trop loin, on peut nager et nager encore sans entrave ni danger.
 Les plages sont ratissées chaque matin d'été à l'aube alors qu'arrivent les premiers courageux nageurs, en majorité des personnes âgées en bonne santé et apparemment appréciant de vivre et d'être là. Ici on se lève tôt pour profiter de la limpidité de l'eau et de la fraîcheur de l'air. Le principal sujet de la journée étant d'en deviner, connaître (elles sont finalement affichées) et retenir les températures.

 La machine bruyante, mais utile et efficace, du petit matin
 ne réveille pas l'adolescent-qui-dort-d'un-sommeil-de-plomb.

 Les habitués se suivent et se ressemblent. Les jeunes ont grandi, les vieux d'hier sont un à un partis, remplacés par les adultes devenus vieux qui leur ressemblent. Même physiques, mêmes conversations - familiales, amicales, anecdotiques ou plus graves - sans fin. Les choses se perpétuent, les individus sont interchangeables, c'est vertigineux.
 Mais comment ne pas apprécier ce repos bienfaisant et ce temps clément, ce soleil radieux et cette brise légère de bord de mer qui fait que jamais on n'y a trop chaud, qu'on est juste bien les pieds dans l'eau. Ce sont des sensations pénétrantes que jamais on n'oublie et qui toujours me manquent.

vendredi 10 juillet 2015

Palmiers

 C'est sans lassitude que j'admire et photographie les choses, ou êtres vivants, que j'admire. Il en va ainsi des palmiers. Plantes et non arbres, paraît-il. Leur éclairage, mise en valeur, dès la tombée de la nuit, a évolué au cours des années.

 Autant l'intérêt de la promenade des Anglais (à Nice) est limité, autant est illimité, chaque instant renouvelé, celui de la Croisette.