On n'a plus d'oeufs et les supermarchés du coin n'en vendent plus. Je ne peux pas faire de gâteau... Pourtant, les fermiers alentour ne doivent pas manquer d'oeufs à vendre... Le circuit court devrait être revalorisé à la sortie de ce confinement, on ne sait quand.
En attendant, on n'a jamais autant travaillé, la choute et moi. Elle, presque harcelée par sa prof de maths, moi, parce que mon travail s'avère essentiel pour mon employeur, dommage que je ne sois pas payée en conséquence. On se rend compte en ce moment combien de nombreuses "petites mains" sont les "nerfs de la guerre"...
Ainsi, les jours passent très vite. L'ennui, on ne connaît pas. Confinée (mais pas désoeuvrée) est un état qui me plaît. Une seconde nature chez moi...
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