Warholisation

Warholisation

lundi 27 juin 2016

Trois fêtes

Gâteau maison à deux étages,
contre sept l'année dernière...
 
 Malgré le temps mi-figue mi-raisin pour un moins de juin, ce fut un week-end festif.
 Des goûters le samedi : à l'école, où les œuvres artistiques réalisées par les enfants dans l'année étaient exposées, et au conservatoire lors du dernier cours de solfège.
 Et dimanche à la maison, pour fêter l'anniversaire de la choute, j'ai eu quatre filles de plus. Ouf, pas de garçon cette année (les deux invités avaient, heureusement, d'autres obligations), pas de fille criarde (celle de l'année passée à déménagé), reste une caractérielle (Il faut toujours qu'il y en ait une qui fasse des histoires...)... Mais dans l'ensemble des fillettes gentilles et attachantes, de bonnes amies qui ont passé un bon après-midi à s'amuser. Le programme était serré : Kim goût, mimes, petits jeux à gages, pêche aux petits lots, chasse au trésor. (Plus le temps pour un colin-maillard, remis à la prochaine fois.) Elles se sont essayées chacune au piano... Ont dansé et chanté. Et éparpillé pas mal de petits jouets.
 
Deux heures de rangement après,
 mais ça vaut toujours le coup.
 
 Petit "debriefing" de l'année avec les quelques mamans disposées. Ce fut autour d'un jus de pomme cette fois.
 La maîtresse de CE2 donne une à une heure et demie de devoirs par soir... Autant dire pour nous deux heures. On en rêve déjà.

vendredi 24 juin 2016

Abois

 Une intervention chirurgicale (sous anesthésie locale) chez le stomatologue, qui me dicte préalablement une page de décharge - un consentement éclairé, confirmant qu'il n'a pas d'obligation de résultat. Qu'on ne se méprenne pas, ce médecin est très compétent (et pas antipathique), mais il faut qu'il se protège contre les procéduriers, de plus en plus nombreux, explique-t-il. La secrétaire se plaint auprès de moi de perdre du temps à classer et rechercher des papiers plutôt qu'à s'occuper des patients comme avant. Plus le temps par exemple d'aller dans la salle d'attente rassurer les enfants avant une intervention...
 Les papiers, et autres menues comptabilités, gagnent du terrain sur l'humain, dans tous les secteurs professionnels.
 La choute a souffert, saigné, pendant, après. Sa dent bouge (c'est bon signe), il l'a un peu redressée, mais va-t-elle vouloir enfin redescendre ? Dieu seul le sait. Pas les médecins, qui ne peuvent même pas s'assurer de la viabilité, maintenant et à venir, de cette fichue dent.

 Sinon, Maurice Genevoix, "tombé" hier à l'épreuve de français du brevet, peu d'enfants (aucun vraiment ?) connaissait. Pas plus le mien, qui me parle de "Marcel Gen...-quelque chose". J'ai un souvenir très précis de moi plus jeune que lui lisant, en attendant le début du cours de solfège, La dernière harde... Je lisais les livres que ma mère m'achetait, ce qui n'a pas forcément été, loin de là et malgré mon insistance, le cas du chichou.

Je l'ai dans une autre collection, mais pas sous la main.
J'aime bien ce dessin.

 Quant à ceux qui préparent les épreuves du brevet ils ont "le cul entre deux chaises" : un texte littéraire, poétique, peu accessible à l'élève "lambda" et des questions simples, ouvertes à toute réponse, pour ne pas le pénaliser... Un drôle de compromis.

 Sinon, appris que tous les chiens - qui aboient pour parler aux hommes - descendent du loup qui hurle.

 Enfin, si un jour j'arrêtais de me déplacer à vélo dans Paris (au bout de plus de 20 ans quand même) ce ne serait pas à cause des engins motorisés ou de la pollution mais bien à cause des autres vélos : insupportables d'égoïsme (gênants et dangereux) !

lundi 20 juin 2016

Fête des pères



 
 Fines allusions dessinées à l'Euro 2016... La choute partage les joies du sport (devant la télé) avec son père. Le chichou n'étant pas intéressé par le ballon rond (ni même ovale) fait le désespoir de son paternel.
 

samedi 18 juin 2016

Arts graphiques

 Déjà, le chichou a eu 20/20 à l'épreuve d'histoire des arts du brevet. Ensuite, il a reçu aujourd'hui son diplôme de petit fauve d'argent d'Angoulême et deux bandes dessinées (dont Le grand méchant renard, de Benjamin Renner, fauve d'Angoulême 2016 - très bien, je comptais l'acheter) en récompense. Ce, lors des portes ouvertes de son atelier d'art.

Les pigeons et leurs immeubles,
 techniques mixtes, par les 4-5 ans (bien dirigés).

La BD, gagnante, du chichou.

Son autre BD exposée.
 On l'enverra, avec un petit mot explicatif, au maire, qui a délégué son ajointe chargée de la culture, au lieu de se déplacer lui-même.

J'ai beaucoup aimé celle-ci, dessinée par un petit (atelier BD 8-10 ans).
 Le même discours, traumatisant, que celui tenu à ses élèves de CE1 par la maîtresse de la choute : soyez gentils avec les autres sinon ils risquent de se suicider. En quelques traits de crayon c'est tellement mieux... Que la choute ça lui a donné envie de pleurer.

C'était donc, malgré les trop nombreuses averses, une très bonne journée.

mardi 14 juin 2016

8 ans

 C'est trop bien d'avoir 8 ans !
 C'était l'anniversaire de la choute hier. Elle l'a fêté à l'école : un goûter et des dessins de ses camarades de classe (Quelle bonne idée de la maîtresse pas si bonne !).
 Et en famille : cadeaux multiples et restaurant chinois (où les serveurs sont si gentils).
Le soir, dans son lit, elle soufflait les bougies, d'un gâteau qu'on mangera aujourd'hui...

Le chichou lui a fait, au doigt, sur la tablette, ce dessin-là :

Sachant qu'il préfère plutôt réaliser des "monstruosités" comme celle-ci (au feutre) :

lundi 13 juin 2016

En résumé

 La lecture du quotidien (papier) est une addiction qui touche chaque membre de la famille dès son plus jeune âge...

 Mais les mots de la dictée de samedi étaient plus compliqués que ceux du journal. Et puis il fallait non pas les lire mais les écrire.
 Cyphose, hoplite, picrocholine, dysorthographie, valétudinaire, impéritie, dithyrambe... (Pour la dictée des adultes.) J'en passe et des meilleurs.

Paris en chansons, dimanche matin, pour se remettre de nos émotions.
Et l'après-midi, c'était la kermesse de l'école ; même sous la pluie les enfants sont ravis.

vendredi 3 juin 2016

En juin qui l'eut cru ?


 
La Seine a monté, les arbres ont les pieds dans l'eau (Ça peut les tuer, à force.).


Situation de crise au travail, le plan Crue a été mis en place.


 J'ai passé la journée à déplacer des ouvrages, à les mettre en hauteur pour les sauver d'une éventuelle montée des égouts parisiens...