Au pays des halls (et appartements) marbrés et joliment éclairés.
Des allées fleuries illuminées par des réverbères et parfois la lune pleine.
Au pays où l'on peut s'enfouir dans le sable.
Ou s'égarer dans la création éphémère.
Où tout est possible.
Pour
partir (J'ai du mal à dire "rentrer".), on ne va pas prendre cet hôtel flottant démesuré, mais le train, au rythme aléatoire à cause des
grosses chaleurs. La SNCF ne supporte pas les climats extrêmes ; les
rails, véhicules et trafic ferroviaire n'apprécient que le tempéré.
Tu reviendras l'an prochain, les meilleurs moments ont une fin hélas.
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