Dimanche dernier, c'était les portes ouvertes de la Garde Républicaine, quartier des Célestins, boulevard Henri IV.
Les démonstrations avaient lieu dehors plutôt que dans le manège Battesti. C'était beaucoup moins bien (démonstrations plus "chiches" et pas de belle vue plongeante depuis les gradins haut placés), il pleuviotait en plus. La sécurité était renforcée, menaces terroristes obligent.
Dans les écuries on pouvait toucher, caresser les doux et beaux chevaux.
Ceux-ci se faisaient plein de bisous.
La semaine d'après, par un bel après-midi d'été indien, je suis allée au Petit Palais, tandis que le chichou suivait un cours d'histoire de l'art (1er d'une série de 5 ; en commençant par la Renaissance) au Grand Palais. Il a bien aimé.
Un lieu arboré, beau, calme et gratuit.
L'euphorbe est toxique, mais pas pour les okapis...
L'euphorbe est toxique, mais pas pour les okapis...
J'y ai notamment croisé cette jolie jeune fille, de 14 ans, prénommée George, dite Géo... Peinte par son père, Léon Comerre (1850-1916), en 1903. (Je lui trouve un air de ressemblance avec FU.)
Bicyclette au Vésinet
Sur le cartel : Apparu dans les années 1890 ce mode de locomotion a procuré aux femmes une mobilité sans précédent. facilitant ainsi leur émancipation.
Notez qu'il n'y a qu'un frein, et un grelot en guise de sonnette. Et pas de phare évidemment...
Et puis il y a l'impressionnante toile (404 x 635 cm) de Léon Lhermitte (1844-1925), maître du naturalisme, sur les Halles à Paris en 1895.
Sur le site :
En 1889, Léon Lhermitte est choisi pour réaliser une peinture
monumentale destinée à l’Hôtel de Ville de Paris. Le peintre propose de
traiter un sujet moderne, l’approvisionnement des Halles, bousculant
ainsi la tradition du décor allégorique.
Le Carreau, où se déroule la scène peinte par l'artiste, est un marché
annexe installé en plein air. Il était destiné à la vente des fruits et
des légumes livrés dans la nuit par les cultivateurs et les
jardiniers-maraîchers des environs de Paris. Le périmètre était ouvert
aux clients de 4 heures à 10 heures du matin.
L’œuvre fait sensation au Salon de 1895 et à l’Exposition universelle de
1900. En 1904, elle est transférée au Petit Palais qui vient d’être
inauguré et présentée dans la grande galerie des peintures située au
rez-de-jardin. Entreposée et roulée dans une réserve durant une partie
du XXe siècle, l’œuvre est restée à l’abri des regards durant plus de 80 ans. Sa restauration, qui a bénéficié du mécénat du Marché
International de Rungis, a duré quatre mois.
Sinon on a eu des déboires dus à une interruption du trafic (pendant environ 2 heures et demi) dans le métro. Une femme s'est jetée sur les rails depuis le quai de la station de notre ville. Faut-il être follement désespérée pour en finir ainsi, un si beau jour... Mari témoin (!) de cet "incident de voyageur" (dixit la RATP) a dû courir prendre la voiture pour aller récupérer la choute à son cours de danse parisien.
Et puis dimanche on a bravé le mauvais temps pour aller aux portes ouvertes de l'école des chiens guides d'aveugles, la choute étant en ce moment entichée des chiens. Je n'avais pas pensé à (ou eu le temps de) jeter un œil sur le site de l'école juste avant... Le bec dans l'eau... Les terroristes s'ils n'écourtent pas votre vie vous la gâchent quoiqu'il en soit.
Et puis dimanche on a bravé le mauvais temps pour aller aux portes ouvertes de l'école des chiens guides d'aveugles, la choute étant en ce moment entichée des chiens. Je n'avais pas pensé à (ou eu le temps de) jeter un œil sur le site de l'école juste avant... Le bec dans l'eau... Les terroristes s'ils n'écourtent pas votre vie vous la gâchent quoiqu'il en soit.
Au moins, avec ce temps humide et frais, le bois n'était pas surpeuplé.