Warholisation

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lundi 11 avril 2016

Paris, je t'aime

 J'adore Paris, il y a plein de belles choses, à voir et à faire. Dixit la choute enthousiaste, sur le chemin de l'école (moins enthousiaste...), le lundi matin, après un week-end en partie parisien.

 Je l'ai emmenée voir les tableaux du douanier Rousseau, dimanche matin. Déjà trop de monde... Tandis que le pauvre chichou travaillait, à la maison, d'arrache-pied sur son brevet d'histoire des arts, qui n'a "d'histoire des arts" que le nom... Je crois que ce truc fumeux - encore une fausse bonne idée, mal mise en oeuvre - n'aura plus cours l'année prochaine, de toutes manières. (Et tandis que Mari repeignait sa salle de bains...)

 Pas le droit de prendre des photos dans l'expo temporaire. Je vous laisse donc le loisir et le plaisir d'y aller. Les visions de la jungle sont les dernières à être présentées. La choute a déploré la sauvagerie, les combats à mort entre les animaux. Ou entre les humains - avec sang abondant - dans les salles d'exposition permanente. On parle de la violence des images télévisées... Mais là, elle a d'elle-même souvent détourné les yeux.

  Pour la permanente, pas de souci de photographie... Alors je ne me suis pas privée.
 Celui-ci est le tableau que la choute a choisi comme étant son préféré. Les fleurs et les couleurs sans doute... Il est de Paul Ranson (1861-1909) et s'appelle La baignade, dit aussi Lotus (huile sur toile, vers 1906).

 Pour ma part, je ne manque pas de m'arrêter, à chacune de mes visites à Orsay, devant les toiles orientales, pour les admirer et voyager (dans l'espace et dans le temps) à moindre frais.
Léon Belly (1827-1877), Pèlerins allant à la Mecque, 1861.
On sent la chaleur écrasante.

 Charles Émile de Tournemine (1812-1872), Café à Abdalia (Turquie d'Asie), vers 1856.

Osman Hamdi Bey (1842-1910),
détail du Vieil homme devant des tombeaux d'enfants, 1903.

 Sinon la choute a trouvé, chez Nature et Découvertes, un cheval qui avançait (pour 219 euros, il pouvait) - avec selle et roulettes, et selon un mécanisme intelligemment pensé et fait.
Là, elle le range.


 Et un doux soir de la semaine dernière je suis allée voir La Médiation, de et avec Chloé Lambert, au théâtre de Poche, 75 boulevard du Montparnasse. Très bien écrit, interprété (par, outre l'auteur : Julien Boisselier, Raphaëline Goupilleau, Ophélia Kolb), mis en scène (par Julien Boisselier lui-même).

2 commentaires:

  1. Avec l'histoire des arts Fu s'est embrouillée avec la prof, Fu était sûre de ce qu'elle avançait, avec une maîtrise d'histoire de l'art et pas des arts elle a eu le dernier mot.

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    1. Heureusement qu'elle a eu le dernier mot, au moins.

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